ET ELLES CROYAIENT EN JEAN-LUC GODARD
de Chantal Pelletier, Editions Joelle Losfeld


REVUE DE PRESSE

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... intime et générationnel, un beau roman de l'amitié et de la solitude, du deuil et de la joie
Raphaëlle Leyris Le Monde des livres

Chantal Pelletier a une façon unique d'aciduler ses phrases, de les faire palpiter. Ses mots s'échappent comme Bébel au coin de la rue, dansent comme Bardot, pleurent comme Anna Karina. Ils disent que le temps est trop court et la nostalgie pas morte... un livre comme celui-ci vous dope le moral, vous fait pleurer à grands coups de mascara sur les joues...
Christine Ferniot
Télérama

J'ai adoré. Chantal Pelletier raconte très bien comment les livres, les films, ça vous ouvre le monde, ça vous l'agrandit... une très belle histoire amitié... ces trois "plus que soeurs" ne veulent pas le prince charmant, elles veulent être elles-mêmes les "princesses charmantes" ... C'est un livre qui raconte une génération avant la nôtre de femmes qui nous ont ouvert des portes et ouvert les yeux... j'ai eu l'impression que C.P me tendait la main, et que grâce à elle, je voyais le monde pas tout à fait de la même manière... et c'est un livre tout à fait grisant.
Olivia de Lamberterie
Télématin FR2

Vif, drôle, émouvant. Et concis... Le rêve se coule dans le réel, le temps qui passe desserre son emprise au rythme des mots, des phrases, des aveux et des rages que Chantal Pelletier emprunte à Godard. Ce n'est pas "Adieu au langage", c'est "Bonjour, folle jeunesse". Remarquable.
Gérard Guégan
Sud Ouest

Les phrases fusent, la gouaille en embuscade, les costards sont taillés au millimètre, interdiction est faite de s'épancher même quand la mort frappe. Vivre a toujours été une urgence. Un beau récit sur l'amitié féminine, inspiré et tonique...
Françoise Dargent
Figaro littéraire

La liberté est contagieuse, et il y a un vent d'une liberté incendiaire qui souffle dans chaque page de ce livre... un livre fort, rempli de fous-rires et de larmes, qui, comme disait Godard, "va à la lumière et la dirige sur notre nuit..."
Caroline Gutman
Postface Radio de la Communauté Juive

Allonzy, allonzo, la vie lui a donné des alliées, des amies, des partenaires, "vivre, c'est jouer". Elles ne seront pas des femmes au foyer ni les esclaves du travail qu'ont été leurs mères, "elles ne seront jamais des dames. Jamais des moitiés"...
Claire Devarrieux
Libération

La plume de Chantal Pelletier est caressante, pudique, acidulée, s'incrustant avec bonheur dans ce qui nous semblait tant relever, jusqu'à présent, d'une cinéphilie essentiellement masculine. On a rarement mieux écrit, en même temps, sur ce qui nous rend Godard indispensable et sur ce qui fait que ses films s'ancrent à ce point dans notre ADN tout en nous faisant regarder le monde autrement.
Laurent Sapir
TSF Jazz Blog

Le dernier roman de Chantal Pelletier parcourt, dans le rire et dans les larmes, quarante-cinq ans de l'itinéraire d'une femme née au milieu du siècle dernier... Dans ce texte où se glissent des "extraits de phrases dites, jouées, lues, écrites, affichées, recopiées, détournées dans des films de Jean-Luc Godard", vivre est une émancipation, la conquête d'une liberté de conscience joyeuse. "Se marrer" est un devoir, une politesse, une morale résistante à tout, aux deuils précoces, aux trous dépressifs. Il y a aussi la vitalité de l'amitié, cette forme particulière de camaraderie féminine. "Brigitte dit que l'amitié multiplie par deux ce que l'amour partage".
Véronique Rossignol
Livres hebdo

"... une prose qui est de la poésie effervescente, à l'incandescence irrésistible. C'est une écriture souple, bandante, aux ondulations savantes, aux fêlures justes. Le don si jalousé de la phrase exacte. Un bonbon acidulé que l'on brûle d'agacer, lentement, du bout de la langue, en implorant "encore, monsieur le bourreau".
Marc-Emile Baronheid
BSC News Mars 2015

Un livre passionnant et passionné autour d'un personnage attachant, un parcours qui n'est pas sans similitudes avec celui de l'auteur sans être pour autant une autobiographie. Beaucoup de lecteurs - et de lectrices - se retrouveront dans cette période initiatique des années 60 où une génération découvrait la liberté grâce aux livres, aux films ou au théâtre, grâce aussi aux Maisons des Jeunes et de la Culture où les corps et les âmes pouvaient apprendre à exister, se rencontrer, s'épanouir et s'exprimer dans une multitude d'activités collectives. Le parcours d'une femme mais aussi le roman d'une époque, un livre émouvant dont on sort ragaillardi.
Serge Cabrol
Encres vagabondes

Un roman d'amitié et de cinéma, magnifique hommage au cinéma de Jean-Luc Godard. Chantal Pelletier ne se contente pas de citer Godard, elle semble imiter jusqu'à son esthétique, par le choix d'une narration discontinue et fragmentaire. On retrouve également l'esprit du cinéaste qui allie subversion, drame et légèreté, le tout dans un style très poétique. L'auteur ne s'appesantit pas, elle procède par touches, au rythme des films de Godard : tout est effleuré, rapide, mais non superficiel. On atteint ainsi la dernière page, émus et "à bout de souffle".
Alexia Kalantzis
La petite revue (critique littéraire et théâtrale)

Puissant et nostalgique, le roman d'une vie !
M.R.
Biba Mai 2015

Un roman qui montre très bien le lien étroit entre Godard et son époque, grand sismographe de ce qui se passe...
Michel Ciment
Projection privée France Culture

… un vrai bonheur, ce roman, un vrai coup de cœur… Un chemin de vie qui m’a beaucoup touchée… un parcours dans lequel beaucoup de personnes peuvent se reconnaître… une immense bouffée de vie, une bouffée d’air… Merci ! Peu de gens sont capables d'écrire sur l’amitié comme vous l’avez fait.
Alexandrine Halliez
Idéaux et débats Radio Libertaire (à 38mn)

... Qu'on ne se méprenne pas, Et elles croyaient en Jean-Luc Godard n'est pas un livre pour cinéphiles mais un véritable roman avec des personnages attachants et des retournements de situation inattendus. Qu'on peut lire aussi, d'ailleurs, comme une sorte d'autobiographie de Chantal Pelletier, qui mêle avec bonheur dans cette histoire d'amitié entre ces trois femmes ses propres expériences... avec celles de tous ceux qui avaient vingt ans dans les années 1960 et ont vécu toutes les transformations de la vie en société et des moeurs jusqu'à aujourd'hui...
Renaud de Rochebrune
La Revue pour l'intelligence du monde

La croyance de ces trois jeunes filles en Jean-Luc Godard correspond à une époque importante pour l’émancipation de la femme, pour une libération de la parole, pour des prises de position politiques… Croire ? Vous dites « l’art ouvre les yeux que ferme la religion… »
Catherine Fruchon-Toussaint
L'invité culture RFI

Une description émouvante du destin de quasi-septuagénaires engendrés par le baby-boom de l'après-guerre et des emprunts aux dialogues des films de Jean-Luc Godard avec une intelligence véritable qui n'oppose pas les films des années 1960 et ceux des premières années de ce 21ème siècle fut godardienne comme la première fut picassienne...
Dominique Païni
Art Press Juillet aout

   

Le Progrès

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